Les logiciels de correction ne remplaceront jamais l’humain. Seul celui-ci est capable de faire converger sens du texte, culture générale et finesse littéraire. De la simple faute d’orthographe au contresens en passant par les imprécisions, les erreurs se cachent partout. Le rôle du correcteur est de tout vérifier. La lecture sera donc à mon image : rigoureuse, consciencieuse et minutieuse.
Correction simple
Sur cette correction, les fautes seront traquées. Accords des participes passés et concordance des temps contrôlés. J’attacherai également une grande importance au respect du code typographique. Ponctuation, capitales et césures notamment.
- Orthographe
- Grammaire
- Syntaxe
- Typographie
Correction approfondie
Ici, la correction se met au service du sens afin d’éviter pléonasmes, lourdeurs et autres ambiguïtés. La cohérence du texte sera analysée, contradictions et anachronismes rectifiés. Enfin, dates historiques, lieux et noms seront vérifiés.
- Correction simple +
- Propositions de reformulation
- Cohérence de l’ouvrage et unification
- Vérification des informations
Supports acceptés
OpenOffice et Word. Ces outils permettent un suivi des modifications. Ainsi, si vous le souhaitez, vous les verrez apparaître dans votre document. OpenOffice et Word intègrent aussi parfaitement bien les logiciels Prolexis et Antidote.
Outils principaux
- Dictionnaire d’orthographe et expression écrite, André Jouette ;
- Dictionnaire des difficultés de la langue française, Adolphe V. Thomas ;
- Le Bon Usage, Maurice Grévisse et André Goosse ;
- Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale ;
- Dictionnaire orthotypographique moderne, Jean-Pierre Colignon ;
- Les logiciels Prolexis et Antidote.
Prolexis et Antidote viennent en toute fin de correction. Dans un premier temps, seul l’œil humain est capable de saisir le sens d’un texte, les subtilités, les jeux de mots ou les effets de style. Seul l’œil humain est en mesure de prendre en compte le contexte pour veiller à la cohérence de l’ouvrage. Les phrases un peu trop longues ainsi que les dialogues ont également tendance à déstabiliser le logiciel qui laisse alors des fautes, voire en rajoute. En revanche, dans un second temps, l’analyse informatisée permet de repérer d’éventuelles coquilles récalcitrantes, des espaces en trop, des points de suspension qui n’en sont pas, etc. Le logiciel est également précieux lorsqu’il s’agit d’unifier de manière rigoureuse les signes typographiques.